Entrainement de Nuage de Sable

La lieutenant tigré marchait d'un pas sure sur ses terres. Ses épaules musclé se soulevant au fil des mètres. L'hiver avec gelées toutes les fleurs de la plaines qui étaient devenue blanche et cassante. Et les allé et venue des chats, des renards, des chiens, des rongeurs, etc... avaient fait du coup plein d'endroit comme celui où elle se tenait. L'herbe étaient apprentie et formait un épais matelas. Parfait pour amortir les chutes. c'est pourquoi Pétale de Coquelicot l'avait choisis.
La jolie femelle marron attendait au milieu du cercle que l'apprentie guérrisseuse arrive. Elle avait proposé à Vendredi Treize de l'entrainer un peu au combat, histoire qu'elle se rouille pas. Le museau levée au ciel les oreilles aux aguets, elle entendait tout les sons et sentait tout, à des centaines de mètres à la ronde. Et une odeur familière vint lui titiller les narines ainsi que des bruits de pas. Elle reconnut bien vite l'odeur fraiche des plantes et des baie de l'apprentie. Elle se plaqua donc au sol et alla se cacher dans les hautes herbes blanches. Le ventre coller sur la surface souple et humide, les membres repliées sur eux même et les postérieurs bandé, elle se préparait à... l'attaque!

Pétale de Coquelicot attendit patiemment que la chatte se décide à agir. Juste pour voir si elle savait au moins repérer un ennemi ou un assaillant juste à l'odeur acre de l'adrénaline. Elle l'observait à travers le fin rideau d'herbes hautes. Elle savait pertinemment qu'elle était très facilement repérable, déjà à cause de sa couleur et ensuite car elle avait le vent dans le dos. Le meilleurs moyen de savoir si elel pouvait repérer un ennemi. Elle ricanait intérieurement de voir l'apprentie dépasser et regarder partout. Faut dire le vent tournait tellement qu'elle devait avoir du mal à se fixer sur la position de son agresseur.
La jeune apprentie se décida à bondir. Pétale de coquelicot, elel les yeux plissés, abaissa sa croupe L'apprentie retomba dessus et glissa, pour se retrouver les quatre pattes en l'air une longueur de queue plus loin. La guerrière tigrée se redressa de toute sa hauteur et s'assit. Elle s'enleva les quelques fleurs sèche et gelée de son poitrail avant d'avancer la tête vers l'apprentie et les yeux plisser. Elle était plutôt menaçante et on ne devinait pas trop ce qu'elle allai faire. Et là elle éclata de rire. Un rire rauque et qui commençait bas, puis montait en intensité, jusqu'à en casser les oreilles.
Mais elle s'arrêta de rire tout d'un coup. Elle s'éclaircit la voix et observa d'un ton de reproche, sec et dur:

<< Tu t'affole trop. Si un ennemis ou même un prédateur te guète tu ne doit lui montrer que tu es déstabiliser. Même si tu es terroriser! Et aussi tu prend trop de temps pour réfléchir. >>

Oui ses paroles ,'étaient pas sympathique à entendre, mais la vie n'est pas sympathique! Mais elel n'est pas sans cœur, elel déclare alors les yeux brillant:

<< Mais tu a desuite repéré mon odeur et ne sachant pas où j'étaie tu bougeait sans cesse pour essayer de me repérer. C'est bien! c'est comme ça qu'il faut faire! >>